Les Délices de l'Ogresse
Ou la conception très personnelle d'un bonheur fait maison
Faites la cuisine, pas la guerre !
Férue d’Histoire, Ranwa Stephan se spécialise dans les conflits du monde arable et devient reporter de guerre pendant quinze ans. Essoufflée par les difficultés du terrain, elle décide de poser sa caméra au profit d’une toute nouvelle aventure. Quoique… la cuisine a toujours eu une résonance particulière pour Ranwa, qui est tombée dedans toute petite. C’est pour renouer avec cette passion familiale qu’elle se lance dans la confection de produits faits maison. Sa nouvelle mission ? Devenir créatrice de « délices » et de joies immédiates. Nous sommes en 2017. L’Ogresse est née…
le bonheur est dans le pot
Afghanistan, Syrie, Liban, Maroc, Inde, Népal, Pakistan… Dans son passé de documentariste, Ranwa a voyagé aux quatre coins du monde. Chacun de ces lieux infuse ses recettes d’épices et de plantes mijotant délicatement dans ses chaudrons. Tout juste de quoi ajouter un petit supplément d’âme à ces délices détonants et colorés. Chaque pot est concocté avec amour et justesse. Des confitures réconfortantes aux pâtes à tartiner gourmandes, condiments, tartinades et autres sauces twistées : l’Ogresse part à l’assaut du goût et de toutes les papilles !
Tout est bon, bio et équitable
C’est dans son petit atelier de La Courneuve en Seine-Saint-Denis, que l’Ogresse conçoit ses recettes. Les fruits et légumes ? Ils sont choisis frais et de saison, dans un profond respect de l’agriculture biologique. L’Ogresse travaille directement avec les producteurs locaux : les tomates proviennent d’un agriculteur de l’Oise et les pois chiches d’un producteur essonnien. L’Ogresse passe également par des filières bien identifiées comme pour le chocolats et les sucres, issus de coopératives locales équitables. Également attentive à l’impact carbone de ses produits, l’Ogresse donne une seconde vie à ses déchets qu’elle réintroduit dans l’économie circulaire. Elle transforme notamment des tomates déclassées ou des fruits à maturité avancée, pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Dans ces petits pots-là, pas d’additif ni de pectine, de surgelé ou de conservateur… À vos cuillères !
